Un nettoyage professionnel sans eau avec la Balayeuse aspirante filtrante Emily Star’Clean

Star’Clean, la balayeuse aspirante fabriquée en France par Emily, permet une propreté professionnelle sans utilisation d’eau, pour vos locaux industriels et logistiques. Son système d’aspiration et de filtration de l’air rejeté, associé à un balayage rotatif vous offre un excellent résultat

Si certaines activités industrielles interdisent l’emploi de l’eau dans le nettoyage des sols, la volonté de faire des économies d’eau est une autre motivation dans la recherche d’une alternative à l’autolaveuse.

Chaque année, en établissant votre tableau de consommation d’eau par machine et par an, vous constaterez que vous faites des économies d’eau avec la Star’Clean, pour un résultat professionnel. 

Réservez une démonstration gratuite d’une balayeuse dans votre entreprise. Il suffit de prendre rendez-vous avec le technico-commercial de votre secteur. Nos produits sont fabriqués en France (Tréflévénez, Bretagne).

L’alternative à l’autolaveuse

C’est au moment du choix de la solution de la machine que les arguments en faveur de la Star’Clean prennent tout leur sens : 

• un balayage + aspiration en intérieur sans emploi d’eau
• pas de branchement au chariot élévateur
• pas besoin de recharge d’accumulateurs, de plein de carburant ou d’eau
• pas de local dédié
• pas de formation à son usage (10 mn de prise en main suffisent)
• pas de personnel extérieur à l’entreprise
• balayeuse très maniable
• utilisation au débotté et en temps masqué
• balayage + aspiration + ramassage + filtration des poussières
• rejet d’air filtré à 0,4 micromètres
• vidange du bac dans toutes les bennes, même en hauteur
• décompactage automatique du filtre
• une machine nécessitant très peu d’entretien
• balayeuse robuste

Comment économiser l’eau dans le nettoyage ?

1/ Le contexte : raréfaction de l’eau disponible

Non seulement l’eau a un coût qui augmente d’une année sur l’autre, mais la question de sa rareté se pose désormais. Le réchauffement climatique est un fait avéré, les sécheresses sont de plus en plus nombreuses, avec la baisse du niveau des nappes phréatiques et des aquifères. 

>> Conséquences pour les particuliers, certaines municipalités ferment leurs piscines publiques et commencent à interdire l’usage des piscines privées.

>> Pour les entreprises, la facture d’eau augmente et les restrictions d’eau menacent la production. 

Avant même d’économiser, éviter d’employer de l’eau est la meilleure solution. Dans le cadre de la propreté industrielle, il convient donc d’évoluer et de changer les habitudes de consommation et les procédés de nettoyage et d’étudier les alternatives. Objectif : réduction des factures d’eau en rationalisant les usages et questionnant les habitudes.

2/ Connaître et étudier la consommation d’eau

Il convient d’être attentif aux consommations d’eau des méthodes de nettoyage. 

Au-delà même du contrôle, la mise en place d’indicateurs simples à suivre permet d’auditer et de gérer ses différents usages de l’eau et d’établir des ratios de consommation par prestation, par service, par production.

3/ Auditer les équipements de nettoyage et matériels utilisés par l’entreprise

Il convient d’établir la liste des machines utilisées pour la mise en propreté de vos installations industrielles ou logistiques et de mettre en face les consommations d’eau par unité de surface ou par heure d’emploi.

Pour exemple, certains fabricants d’autolaveuses évoquent des consommations de :

• 1 litre d’eau pour nettoyer jusqu’à 56 m2, pour les meilleurs équipements présentés, 
• ou encore de 1 litre de solution, nettoyant environ 10 m²; soit, avec un réservoir d’eau propre de 40 L, la possibilité de nettoyer 400 m² avant d’être contraint de remplir le réservoir d’eau, 

Donc, sur la base de ces chiffres, la consommation d’eau nécessaire à chaque nettoyage de 1000 mètres carrés de sols est située entre 20 à 100 litres environ.

Il convient de procéder de même pour chaque matériel et chaque étape dans le nettoyage.

Il faut aussi intégrer le fait que, avec les autolaveuses, le détergent en solution dans l’eau est une pollution qui reste à traiter.

4/ Déterminer les points de gaspillage d’eau

Avec le tableau de consommation par machine et par an, il est possible de suivre les consommations et de contrôler les différentes étapes des procédés de nettoyage afin de détecter les points de gaspillage d’eau et de rationaliser la prise de décision concernant l’augmentation de la consommation d’eau.

La Star’Clean est une balayeuse poussée par chariot élévateur qui aspire et ramasse les poussières et déchets au sol sans utilisation d’eau.

La principe de la balayeuse aspirante sans eau

Sous la Star’Clean, la zone de balayage est circonscrite par le balai principal et les bavettes latérales, qui permettent l’emploi d’une turbine d’aspiration créant une dépression au niveau du sol. 

L’aspiration de l’air vers le bac de ramassage et la contre-rotation du balai cylindrique envoient les déchets dans le bac étanche. 

Le flux d’air aspiré poursuit son parcours vers le filtre (10 m2 de surface filtrante) et sort par les ouïes après filtration.

L’ouverture du bac pour sa vidange se fait au-dessus d’une benne, par simple emploi de la gravité (sans moteur ni vérin). À chaque vidange, la butée du bac est guidée par une bielle qui permet le compactage du filtre par choc sur la bielle. 

Balayeuse poussée par chariot élévateur

La Star’Clean n’a pas de moteur électrique, ni de moteur à essence ou gazole. Ni même de connexion push-pull au chariot élévateur : elle tire son énergie de la simple poussée du chariot, qui actionne ses roues et ses moteurs hydrauliques internes. Les moteurs hydrauliques actionnent le balai principal, la brosse latérale, la turbine aspiration.

Comme elle est sans branchement ni connexion, la Star’Clean ne nécessite pas d’être remisée dans un local protégé dédié comme un local de charge ou un garage.

Efficace de 4 km/h à 8km/h

La balayeuse aspiratrice n’a pas de moteur thermique ou électrique : c’est la poussée du chariot qui actionne les moteurs hydrauliques. Leur démultiplication fait fonctionner la turbine de l’aspirateur, le balai et la brosse latérale.

Pas de formation ni d’apprentissage technique du fonctionnement d’une autolaveuse

Une démonstration du fonctionnement de la balayeuse aux opérateurs concernés, puis une prise en main rapide pour un essai suffisent. Tout personnel autorisé par le chef d’établissement à conduire un chariot élévateur peut utiliser la balayeuse, a fortiori les caristes.

Nul besoin de faire appel aux équipes externes d’un prestataire de nettoyage, avec les coûts, la sécurité supplémentaire et la gestion qui vont avec.

Une mise en œuvre rapide de la balayeuse

La Star’Clean est toujours prête à l’emploi. Il suffit d’accoupler les fourches du chariot élévateur dans les fourreaux, de glisser les loquets de sécurité et d’avancer à 4 km/h.

Maniable et efficace, elle est immédiatement opérationnelle.

Cette utilisation ponctuelle de la balayeuse permet de s’en servir sans planification, en fonction des salissures issues de l’exploitation ou de la production, sur les allers-retours des caristes.

Filtration des poussières 

En zone confinée, balayer le sol sans filtrer l’air aspiré revient à diffuser la poussière qu’on vient de ramasser… Quand il n’y a pas de filtration efficace de la poussière sur la machine, le dernier filtre est le poumon des salariés.

Une filtration des poussières à 0,4 micromètre (0,4 micron)

C’est le filtre de la balayeuse aspirante qui bloque le flux et retient les particules en suspension dans le bac de ramassage. 

En effet, dotée d’un filtre très fin d’une capacité de filtrage de 0,4 micron, la Star’Clean retient l’essentiel des poussières et rejette dans l’atmosphère un air filtré plus sain. 

Les poussières fines en suspension sont captées par le “média filtrant” d’une surface de filtration de 10 mètres carrés. C’est l’étanchéité du bac qui permet l’efficacité de la dépression d’air et l’aspiration créés par la turbine

Décolmatage automatique du filtre de la Star’Clean, un principe breveté

La vidange du bac à déchets de la Star’Clean se fait par gravité : pas de moteur ni de bras articulés afin de minimiser les risques de pannes et les coûts d’entretien.

Le bac qui accueille le logement du filtre, sous la balayeuse, s’ouvre; il est guidé par une bielle et vient taper à vide sur la butée de décolmatage en fin de course de la bielle. Le choc de la percussion fait tomber dans le conteneur l’encrassement colmaté. Le choc est fort, c’est contrôlé et prévu par le BE et le système breveté.

En fonction du niveau d’empoussièrement, de la fréquence des balayages et du type de salissure, il conviendra de nettoyer le filtre à la soufflette plus ou moins souvent.

Vidange en hauteur du bac de ramassage

La vidange du bac de ramassage se fait par l’opérateur du chariot, grâce à une tirette facile à actionner depuis son siège, qui déclenche l’ouverture du bac.

Le bac s’ouvre sans système de vérin, par simple gravité, avec un décolmatage du filtre à chaque ouverture.

La pulvérisation de l’eau assure un abattage de la poussière au sol, ce qui freine son envol lors du passage du balai rotatif et permet son stockage dans le bac.

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